Tu étais notre mentor, notre guide
Maintenant, il ne reste qu’un grand vide.
Tu t’asseyais, malgré ton rang
Avec nous, sur le même banc.
Ta générosité, ton humanisme et ta modestie
Avaient touché le cœur de nombreux amis.
Tu voulais, de chacun, soulager les peines
Sans amertume, sans violence et sans haine.
Tu avais le cœur sur la main,
Pourtant il t’a trahi…. Fichu destin !
Comment ne pas repenser
A tout ce que tu as donné.
Comment surmonter ce lourd chagrin ?
Comment consoler les tiens ?
Juste en écoutant encore une fois
Le son de ta belle voix :
« Hé, ho ! En bas les Arcanty’s
Ici avec J.F., on a repris les exercices !
Alors, chantez, chantez, mes amis
Pour ne pas que l’on sombre dans l’oubli. »
N’aie pas peur, Jean-François
On n’est pas prêts de t’oublier ici-bas !
Garde nous une place au Paradis,
Nous te garderons dans nos cœurs meurtris.
Colette